Le papier du jour. Direction ETCEE

 *  ** Fabrice ne délaisserait pas son travail s'il le pouvait. Toujours est-il que Fabrice connait au cauchemar dont nous lui avons cédé la parole hier l'accumulation de celui dans lequel se voit plongée la France. Il se demande alors, il se questionne toujours, sous le quadrillage épieur et calomnieux permanent de son quotidien à la façon d'engendrer son possible zest de créativité lucide pour la prévalence de l'Unité, elle aussi, lui avec.  " L'unité n'est pas une unité, comme une unité ne s'interchange , plus encore strictement contre une autre ! L'unité du général dans le respect des particuliers, sans que particules mantibulent, ce devrait être l'idéal-type du bon sens ". La difficulté lui semble toutefois insurmontable, dévitalisante, et il sait comme peu de monde combien il ne fait pas bon de se laisser cratériser d'où que l'offense provienne. "Est-ce donc le temps de se méprendre, de se contenter d'un exercice répé...

Fabrice, accablé d'exaspération, se décide une fois nouvelle à abdiquer. Son clavier au bout des mains, il tapuscrite :  " De la disruption émise par des agitateurs n'ayant foi en rien, à même de vous intenter des procès d'impiété à quatre sous, c'est la captivité à laquelle je me vois soumis depuis maintes années de manière rampante. Des plaintes, des mains courantes, une panoplie d'autorités publiques contactées, rien n'y fait, dissuadons et rendons les forces psychologiques exangues. Des risques tout, fomenteurs d'appels à la haine sociale venant à encapçuler l'existence de l'auteur de ce billet, c'est bien là toute une victimologie dont l'on voudrait m'assiéger, de par un harcèlement de chaque interaction avec soi même et ses inspirations, avec sa famille comme envers ses valeurs personnelles. Et s'abaisser en répondant, pire en ne répondant pas ou très peu, épris d'humilité que cet auteur se porte voici de nombreuses ann...