De l'écriture en quête d'un funambule

 Lundi 29 avril 2024,


A marée haute pour l’esprit, quoiqu’au milieu d’ineptes mises en causes, autant de prétextes confiscatoires d’un contrôle de soi – ce que je n’ai eu de cesse de réprouver et de dénoncer non sans heurts -, en proie au biais d’une complicité de quelques communautarismes de basses connivences à mon détriment, sans rappeler qu’ils ne se cajolent pas, je privilégierai ce jour (accablements encore de cette meute à chaque foi que je rejette par le langage ces monstrueuses iniquités, cette emprise acerbe) probablement un traitement plus scientifique dans mon écriture, n’ayant pas vraiment une volonté de poésies. Héraclite et Parménide, Eros et Thanatos, extirpés d’une vita contemplativa mais il demeure activia. Pour connaître mon climat intérieur mieux que quiconque, la souplesse et l’entrain sont des ressorts bien trouvés lorsque, précisément, je pose mon sablier ce matin du côté des langues étrangères lycéennes au service de mon orientation professionnelle arrêtée de longue date. Mais se contorsionner à la merci d’envieux sournois et mafieux, il y a des retours de semée. Les crapules propagent des désirs de danse funeste, experts en lois universelles qu’ils estiment exploiter pour combler quelque part de jubilation soient-il. Il tablent sur chaque méandre, traquent toute initiale d’inspiration de leur proie lâchement, mensongèrement désignée ; un pareil projet de croissance insufflé et nous aurons une économie d’obscurs énergumènes. Je ne crois pas du reste que cela intéresse rapidement une T de Roquiny. J’y décèle en quelques mesures les tourments dirigés envers un Michel Onfray antérieurement. Ce qui se joue de concert aux exactions pour mon seul cas, ce sont des grandes hâtes, friandes trop souvent d’amalgames, de mises en dilemmes excessives et par là aussi propres à extorquer, à solder le droit d’une victime de repartir d’elle même en tout état de cause, valables à déchirer un traitement cohérent, éclairé, tant en vie professionnelle, régulièrement esquintée de nombreux comportements arbitraires, qu’au service de questions citoyennes. Intarissable malgré moi pour récuser les offenses et leur inextricabilité rampante, contamineuse de bien des scléroses, je veillerai à consacrer un moment de ma journée à des questions de sciences ai-je indiqué.


***


Des compromissions aux justes compromis : pour un pacte mondial à durée renouvelable.



Développer ce soir en manière de s’attester d’une relative productivité ne conviendra pas probablement, si les bonnes énergies n’y sont pas. Et aussi aisé que cela puisse sembler, que pourrait donc cette fois la concision ? Je répondrai que la concision peut permettre ici d’élaborer une trame pour peu que je ne me contente pas de poser simplement des éléments épars d’un objectif donné à la manière d’un brainstorming pouvant comporter malgré tout ses vertus.


Pour mieux situer les choses, j’ai souhaité pointer mon curseur autour d’un certain panorama des sciences économiques, aussi dense que concis le cas échéant, par la consultation chronique d’Esther Duflot*. A ce sujet, pour ce qui me regarde, je me suis muni de mes lunettes d’amateur scientifique et de préoccupations citoyennes à l’heure où s’éprendre de ce comportement autrement usité par mes contemporains relève d’une gageure multiple*.


Dans l’écoute progressive de ces courageux et bien sérieux travaux, il me reviendra moins de relayer – je me souviens des dires sur youtube d’Arnaud Montebourg qui rappelait à sa façon dans une interview* combien de nos jours l’information est accessible à tous, le plus difficile tient à se saisir des sujets et de se positionner – que d’épingler quelque aspects dirigés aujourd’hui pour écrire, en gardant à l’esprit une idée symbolique de leur connexions à même le monde commun, où pour user d’une lapalissade pas si acquise l’on devrait souligner que « tout est lié ». Effectivement, un sujet isolé ou une dizaine en sciences sociales appellent une nécessaire compréhension du temps, laquelle dimension est si criblée, si chargée de tensions lorsque l’on considère seulement l’avantage de l’exercice des démocraties constitutionnellement libérales. Dans l’ordre du moins mauvais, et sans esprit de polémique gratuite, une minuscule pierre à l’édifice est possible de mon geste, tant pis pour l’élasticité scélérate des circonstances devant la signification primordiale d’avoir à assumer ce qui est argué.


Comment d’un autre côté inscrire vrai pour ne serait-ce qu’une conscience personnelle et les commodités de l’intra-soi ? Il y aura à revenir quant aux liaisons qu’entretient le triptyque impartialité, neutralité, indifférence au coeur de la Cité.


La piqûre de rappel et d’actualisation du jour a permis de voir ressurgir une galaxie aimable d’économistes récents quand bien même quelques uns viennent à disparaître au rebours de ce qu’ils nous lèguent : le français Daniel Cohen*, James Coleman*, l’américain Robert Solow. Il y a ici assez pour refonder un monde viable, y compris en faisant du neuf avec de « l’ancien ». Par ailleurs, cette consultation s’est enrichie de l’évocation personnellement significative de Jacque Attali, de Benoit Hamon, et de Julia Cagé.


Ces précisions de départ étant apportées, passer des nombreuses compromissions aux compromis de bon aloi – le politique étant de fait à l’action, la politique politicienne ergote sa botte – passera par une dérivation inspirée des apports de J Coleman à la science économique puisqu’il compte au rang des penseurs académiques ayant ouvert la discipline à la psychologie, à ceci près que mon mimétisme se réclamera, à la façon des neurones miroirs, d’un appel de la communauté scientifique pour soutenir une certaine économie du droit. Cette taxinomie en effet n’aurait rien de creuse et de ses fondements épistémologiques accessibles en maintes questions (exemple …), ainsi qu’il m’appartiendra d’en esquisser quelques illustrations, j’estime que les esprits pragmatiques et engagés de citoyenneté seraient encouragés pour agir plus justement.


Alors non, ce serait presque embarrassant, il y a à la fois une bonne et une moins bonne nouvelle. L’économie du droit semble investie et constituée en discipline universitaire au-delà des simples analyses dites d’économie du droit. De semblables prolégomènes devaient-ils aboutir à enfoncer des portes ouvertes ? Pour ma part, il reviendra de suggérer des pistes personnelles pour autant que possible sur ce point. Quant a mon article du jour, il devait partir de cette économie du droit ( les droits humains et de l’environnement, bien employés, mieux respectés, en combinaisons permanentes des devoirs qu’ils impliquent pourraient générer une quantité inouïe d’économies, autrement d’investissements plus à propos, et ce sera l’objet de développements demain pour cadrer la proposition de cet article. Aussi, quoi que cela n’avait rien d’un engagement, des développements innombrables sont à prévoir. Il n’empêche que je peux tracer le restant de la charpente de cet article, dont la vue d’ensemble, il faut remercier les stimulations issues de l’économiste E Duflot, s’est dessinée en peu de temps.


Pour abonder en cette voie, il convenait de valoriser le raisonnement selon lequel entre situations de faits et biens recherchés, avec pour toile de fond des inégalités résultées de crispations d’une rationalité au mieux controuvée ( en exemples, situations aberrantes aujourd’hui des femmes dans la majeur partie des sociétés en siècles cumulés malgré les avancées sans précédent depuis l’occidentalisation issue de la modernité, les globalisations contemporaines* ; recul des droits positifs en démocraties libérales et davantage lorsqu’elles sont qualifiées de populaires – je me réfère en ces préoccupations aux émissions d’A Garapon depuis deux ans, lesquelles sont sources d’un foisonnement d’autres exemples - ; corruptions, atomisation des causes même représentées d’intérêts catégoriels etc droit de l’information en perte de vitesse au vu du phénomène des fake news déployé sous des jours nouveaux ( cf les séries en rapport sur Radio France), les dessous d’un droit de la science savamment décortiqués, non sans proposition, par Samantha Besson cette année au Collège de France, désertion de la vie citoyenne mêlée de désabus à grande échelle des populations citoyennes ), lorsque « se tirer dans le pied » comme il se dit parfois devient la norme et le réflexe prépondérants.


Ces développements à poser, il reviendra de se saisir de la question du climat en thuriféraire d’une « néo-cope à rallonge » par exemple ( bien entendu, ce ne sont pas les instruments politiques démocratiques qui posent difficulté, ce que beaucoup savent tant il en existe, plus ou moins traditionnels soient-ils), c’est à dire un forum intégrant un mécanisme de prolongation et de clôture selon un un barème d’objectifs priorisés à atteindre catégoriquement. Une pareille structure, ce nouveau deal d’Etats-Généraux planétaire appelé à formuler des engagements par l’avènement d’un socle de république mondiale de facto, pour elle même, en sus de simples mais précieux formats de réunions démocratiques unifiés, comme le suggère selon ses propres itinéraires empruntés le modèle de régime politique français notamment. Le moment de refaçonner les institutions mondiales pour répondre avec plus d’efficience aux défis dont nos oreilles sont rebattues a été en filigrane évoqué par quelques voix diverses* pour ce qui relève du seul Exagone, et cette question n’est pas encore à mon sens un serpent de mer.


Tout cela est-il trop simple ? Bien certainement. Nous préférerions l’entendre de la prime jeunesse à laquelle pourtant nous n’avons de cesse de reconnaître que nous lui laissons une boite de Pandor. Tout cela est-il facile ? Non, c’est évident. Il est devenu d’ailleurs habituel de nous poser la question de la sauvegarde de viabilité du déroulement des secousses pour les classes d’âge adultes actuelles, ce pourquoi ce n’est plus tout à fait une vérité de la palisse d’en appeler à un sursaut fédérateur et constructif, sans précédent, moins destiné à paraître qu’à anticiper et nous garder des variétés de visions concurrentielles d’apocalypse ayant bon trainn, où les vents de fatalité, de la paresse d’esprit s’irrigueraient de prophéties autoréalisatrices. Ces assignations de turbulence sociale marchent de découragement sur le bon sens.


Plus sérieusement, si la raison de l’intérêt commun, parfois agaçante, demeure plus opérable et juste à faire valoir un temps soit peu à l’échelle des enjeux à discerner, le maillon important de cette articulation d’initiatives tiendrait en un jeu humain mathématique de résolutions censé de nombreuse scories du Globe distinct de celui qui pourraient être demandé de solutionner aux louables intelligences artificielles.


Dans cette veine, proposer une course d’humains accordés, réunis, au préalable des nouvelles coordinations que préfigurent l’homme accompagné de ses technologies, tel serait l’esprit de cette recommandation que nous enrichirons ici d’une suggestion d’arguments (dans le même sens, à la manière d’un amphithéâtre estudiantin pour l’image, convier une somme importante de versions de citoyens appelés à pencher sur un sujet commun, c’est à dire comme cela s’observerait durant quelques heures devant un sujet de copie dont l’intitulé tiendrait en trois à quatre mots, la diversité des singularités manifestées trouverait à irriguer le souci commun moyennant quelques agencement de nature pratique).


Un « of course we dare » ( quant à une idée de consortium) si l’on voulait, c’est une complicité des volontés nouvellement éclairées des imbrications d’un dépassement des attitudes court termistes. Car l’action politique revient assez à répéter au jour de nouvelles pédagogies, savoir de nouvelles formulations, ce que le plus grand nombre est capable de saisir naturellement. En guise d’anticipations, l’enjeu d’une notion de « desescalades groupées » aurait de quoi soulever plus de considérations attentionnées que de pure tensions.


De ce tournant majeur, ce qui serait expectable entre autres serait d’investir d’épaisseurs concrètes un pacte mondial à durée déterminée ( nous prolongerons de références cette suggestion ), en aucune manière un concept attrape tout quoi que suffisamment modulable d’améliorations auxquelles et nous essaierons ici de nous pencher.


(Ces propos que je viens d’ébaucher en vue de les approfondir dès demain, et de les formuler avec davantage de présentation, ne sont ni de droite, ni de gauche. Tenez-vous le pour dit. Ils explorent des nécessités publiques, mon drapeau restant tricolore. Qui recherche à intégrer la haute fonction publique doit pouvoir attester d’impartialité, d’intégrité, ce qui est mon cas. Le sens de l’intérêt collectif se concilie toutefois sans difficultés de convictions personnelles).


***


30.04.24


Les linéaments qui précèdent devaient hier plus généralement convoquer une des plus ambitieuses gouvernances explicites, brassée d’innovations, de conditions de règlements, de culture davantage confiante de la conduite des compromis, c’est à dire à la façon d’un « jeu » sérieux mais, pour dire les choses simplement, d’un jeu gagnant voire gagnable. Par voie de métaphore avec le monde des équations, tout en nous gardant du scientisme et de ses enchaînements expéditifs, une combinatoire des équations notamment dérivées incluant des propositions régionales en amont de leurs adoptions, de leur rattachement au plan mondial, et non différentielles en ce que ces dernières accueilleraient une ouverture entropique plus incertaine et de stabilité douteuse, participerait pour la désigner à titre de finalité, en partie opératoire, ou signifiante et non uniquement signifiée, d’une sécurité coordonnée plus digeste pour les acteurs. 

 Il y aurait là comme une imbrication des visions d’ensemble, selon une diplomatie noueuse d’une sorte de « change des concordances ». En cela, une hydrolique de la sécurité moins mauvaise selon les calendes convenues* resterait compatible avec un mieux universel de libertés répandues à la différence de la paix des cimetières que redoutait E Kant. 

En conséquence, entrevoir ensemble pour programmer des socles, des dénominateurs globaux de préoccupations et de problèmes ( pour illustration, dans un esprit qui sied au HCP en toute concomitance, c’est dire au soutient de notre souveraineté nationale ) à la manière d’une mise à l’écart des risques partagés du tout par la partie ici et là reviendrait à assainir par l’inclusion, à son corps défendant. Nous y verrions, une diminution entre autres des cynismes qui prospèrent d’horizons bouchés. 

 En outre, si le vouloir-vivre ensemble insupporte, comme cela s’observe sur les réseaux sociaux voici des années, il serait à minima plutôt question dans ce billet d’exhorter la générale volonté de vivre responsable comme condition respectueuse des identités et des libertés demeurant par définition changeantes puisque, par ce point, quoi de plus compréhensible, nous touchons au sensible, soit les souverainetés individuelles et collectives, leurs dignités, leurs légitimités, traversées toutefois d’une interdépendance accrue quoi que l’on veuille.

L’avantage de ce mouvement de fond consisterait à proposer des marges augmentées selon la méthode des poids et contrepoids en inscrivant le nouvel élan d’une fenêtre de dialogue global. Cet évènement, son avènement, associerait des canalisations ajustées pour autant que possible « du tous connectés » articulées suivant les pays de participations citoyennes analogues sur le principe à leur tenue en France sous l’impulsion du Chef de la Nation (2018). En effet, diverses expériences de nature démocratique devraient nous encourager à promouvoir l’organisation d’un amoindrissement de la contradiction couramment observée entre démocratie directe et démocratie représentative ( même si nous savons, et c'est heureux, que la tradition des institutions administratives en France offre un sillon des plus illustres quant à cette réformabilité d'espèce avant, avec et au delà de la révolution française).


Autrement dit, instiller l’espace d’une irénologie d’anthropologie économique – à laquelle la consolidation d’une économie du droit, en revisitant du même trait une économie sociologique - devrait nous importer puisque cela nous concerne d’autant que chaque membre de l’anthropocène , plus encore dans les phases où les rythmes sociaux s’accélèrent, est plus ou moins conscient des besoins naturels d’harmonisation entre courts, moyens, et long termes, de passés en avenir, c’en est une question d’intégrités.

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Vendredi 3 mai


Des idées et des malentendus à évacuer figurent dans les pages brossées à grands traits cette semaine, tout d’abord d’intention essayiste, quoi que restant sommaire en ce qui touche l’économie perçue de mes soins, puis au renfort de cette discipline ai-je opté, en greffant une série de positionnements, appels et articulations théoriques propres au RI.


Toutefois, cheminer du général au particulier s’impartissait à mes yeux de manière fort segmentée, comme un nécessaire intermède de citoyen ordinairement relié assez à l’actualité, tandis qu’une exigence minimale de spécifications empiriques et de développements affinés des intuitions, des idées ou des vœux personnels initiaux appelle régulièrement d’être présentée, je ne saurais m’y soustraire.

Il y va du respect des sujets pointés, de ses possibles lecteurs, au rang desquels soi-même, en espérant soigner les temps respectifs des publics recherchés. Dans le même ordre d’idées, le sociologue Pierre Bourdieu conseillait lorsqu’il s’agit de rédiger, à tout le moins en sciences sociales, ce que je généraliserai pour ma part aux tentatives de l’essayisme, d’agir en sorte à ne pas avoir à se décevoir à la relecture de ses travaux une décennie plus tard. Bien entendu, j’estime que cet heureux conseil est devenu très ambitieux deux décennies après la disparition de ce sociologue ; des interférences teintées d’ingérences et de parasitages en maintes aspects – libertés d’expressions, libertés d’information, libertés académiques et scientifiques, droit à la vie privée, plus généralement hélas, un tandem libertés publiques/libertés privées en proie à des bouleversements malsains, des transitions de protections rendues incertaines, la liste pouvant hélas s’allonger, nous y reviendrons - interrogent la teneur, les validités et authenticité du travail, de son droit et ses obligations, ramifiés aux changements induits et pourvoyeurs des logiques du distanciel pendant que l’interopérabilité s’est bon gré mal gré surdéployée au siècle courant.


Il suit de là non moins que la précipitation se présente comme mauvaise conseillère si l’on souhaite introduire quelques ferments émancipateurs au milieu d’une nasse riche de de 8 milliards d’êtres humains en 2024 comme l’indique l’INED. Plus encore, si l’essai et ses portées heuristiques, et même commerciales quand il y a lieu, présuppose une certaine liberté, un certain recul et affranchissement vis à vis de méthodes que l’on qualifierait sans péjoration particulière de scolaires, il importe de rappeler combien essaimer dans l’ordre du littéraire et du scientifique exige des investissements de temps importants, une qualité de concentration précieuse, des possibilités de préserver le degré accumulé de traitement de ses préoccupations ne versant pas dans la parodie.


La sociologie du travail créateur de Pierre Menger à ce sujet rappelle le caractère précieux et ses aspects d’une telle exigence*. Et une farce d’abondantes corrosions se perpétuerait si l’on banalisait jusqu’à invisibiliser davantage les protecteurs de la civilitas sur celui de la nature débridée.


Plus à propos, afin de revenir au façonnement des propositions de notre entretien, il me semble qu’en termes de spécifications il serait de nouveau utile de nous munir d’une forme de typologie de « portée intermédiaire » pour ce qui serait de dresser une liste évidente des problèmes et des risques communs voire partagés, lesquels irriguent souvent des instincts de survie compréhensibles quoi que de validité contestable pour le plus grand nombre.


Quelles que soient nos orientations en relations internationales (un clavier riche de potentialités de ce qui se fait dans le monde se retrouvera en France sous les lumières du pédagogue D Battistella ainsi que du Professeur B Badie), de même qu’en économie politique internationale (on dénombre habituellement moins de courants alors que ceux-ci traversent les décennies avec une certaine solidité, nous les nommerons analyse libérale, keynésienne, marxiste ou marxienne*,synthése néo-néo*), des fléaux qui désagrègent à la fois les intérêts publics infra et supra-étatiques concernent aisément le sujet des drogues, celui des mafias, ceux des portées effectives du phénomène protéiforme de la corruption, la ruche des surveillances sourdes comme des variantes d’emprise de sphère informatique aux libertés physiques de circulation, de la pédophilie et des exactions commises à l’encontre de l’enfance – s’il a pu régner des omertas au fil de quelques siècles en sein de l’Institution Ecclésiale, gardons nous de généralisations abusives en ce que notre postmodernité accouche de nos jours en Amérique pour ne se référer qu’à l’anthropologue Emmanuel Todd d’une sorte de déverticalisation morale, un franchissement nihilliste* constituant une véritable nouveauté de taille aux conséquences avenir multiples quoi que l’on en pense -, de l’exploitation des femmes qui corrodent les meilleurs intentions et finalités lorsque nous avons à animer le grand agenda normatif de la scène planétaire, celui de la cohérence. A cela, une intersubjectivité des plus collectives non conflictuelle mais attentionnée aux sollicitations des circonstances par le refus catégorique de désagréger davantage les socles communs d’épanouissements forgés à ce jour ne serait pas de trop. Elle en serait le point de passage d’un vase communicant à un autre, savoir d’une rétention, d’une invalidation au renversement tendanciel de gangrène ci-évoquée sans exhaustivité nous savons, et nous y reviendrons.


Promouvoir un pacte mondial à durée déterminée, et plus si affinités



A l’orée de la fin de l’année 2021, de nombreuses réflexions afférentes à l’anthropologie, à la civilisation se sont faites nouvellement jour et elles connurent un échos public grâce entre autres aux relais de Radio France ayant engendré certes des sensibilités variées (je pense personnellement aux conférence de P Descola du CDF ainsi qu’à celles d’Emmanuel Todd à nouveau) . En ce domaine, sidérantes et ou stimulantes, ces visions réfléchies et signées ne devraient pas se voir retirer le mérite de nous avoir interpellé quant à l’ensemble de ce que les êtres humains incarnent, et partant ce qui les définit, sans omettre leur dignité existentielle. Par ailleurs, ces dernières années pour le moins, une vulgarisation des résultats issus des sciences dites dures permise en grande partie par les médias en ligne (pensons à Google Actualités) a offert au genre humain des bribes d’augures prométhéens si bien que le tout technique et l’affirmation de revendications éthiques ont foisonnés, ce qui ne va pas en s’arrêtant.


Ce constat, par bien des aspects, devrait nous inciter à nous baigner d’une philosophie pragmatique de l’action positive, sans que pour ce qui me regarde elle procède stricto sensu d’idéologies, quand bien même un certain faillibilisme poppérien* valide en nous en prévenant, c’est à dire sous réserve, des progrès que confèrent les théories scientifiques. Nous proposons de réunir ici sous le vocable de logos les assertions, les alliages et propositions de nature réflexives, philosophiques, destinées au plaidoyé défendant une relance de la fabrique du monde plus viable pour tous, et nous avons suggéré une construction d’ensemble soucieuse de fixer un pallier exigible à minima par l’entraînement d’une participation démocratique de haute intensité, savante des errements (de raisons multiple en ce domaine*) sur le chemin du bonheur comme finalité postulée du politique*.


***

Dimanche 5 mai 2024


Kafk'à Chagalle ou les nouvelles de Fabrice


" Mes forces sont au rabais, je m’élance, mais vers où ?

Mes forces vont à Calais, elles me lancent « Viendra-tu » ?

La fange de la houle, où baigne les sots imbus,

De ce miel il font leur. L’heure d’entasser les mous.


Mes bras sont au retrait, ils recherchent cette foi.

Mes bras sont sous haies, ils percheraient pour un seuil,

La brasse atterrée visait grand ; d’un autre œil,

De ce bel avril, déjà, Déjanire bat.


Mes droits sont à souhait, ils récusent aux cent vies

Mes droits qu’ont les jouets, reçoivent ce qu’il doivent.

La rescousse abordée, ils expirent et conçoivent ;

De ce renouveau, se transporte mon avis.


Mes pas s’en répètent, cadencés, au pré carré,

Et mes pas rejoindront au chant des points levés

La verrerie, vénérable d’éclaircies, reflets,

D’un minuscule frimas, une nef grande de livrets".


***


Jeu 16 mai 2024


Pour revenir à mon article, il n’est plus besoin de souligner que j’ai réuni assez d’idées personnelles de même que des points émanant d’autres penseurs étant attendu que lorsque l’on souhaite traiter d’un peu de sciences l’on conçoit que l’on s’adresse à des commités de lectures, une certaine communauté scientifique ; des convenances formelles, d’authenticité s’infèrent de l’écriture y compris d’un certain désir de créativité, ce que ne comprennent pas mes détracteurs qui rivalisent entre eux d’animosités cinglantes, irrespectueuses de ma conduite personnellement arrêtée pour la libre expression de mes pensées, sa lucidité, et pareille avanies monstrueusement élevées en deviennent toujours plus confiscatoires de raison, donc infantilisantes, etc

Il y a une haine collective, oui, entretenue à l’encontre de mon droit le plus commun à l’autodétermination individuelle. Ces contrefacteurs d’intentions légitimes, légales et utiles en appellent à une odieuse barbarie des temps modernes par le sabordement, la mauvaise foi éhontée, comme tout cela est teigneux. Je suis désigné comme défouloir. Et s’avérer modéré, comptable de ses nuances vous en désignerait comme prince de mal…


Dans ce climat mon collier se réalise à pas de tortues et la vision d’ensemble ne doit pas céder le pas à ces entrismes, à ces appels du pied, qui pillent pour l’émiettement, l’incohérence, l’endossement, une signature contre soi même. Aussi, plus que je le voudrais, mon journal de l’écriture doit comprendre une mention de pareilles conditions de rebuffades gratuites comme de mon bannissement du régime des pyromanes. Les apaches.


Pour l’immédiat des congruences entre les principaux mots clefs et propositions générales invoquées dans l’article de ce journal sont à souligner si bien que je débuterai ces rajouts par le constat d’une interdépendance manifeste à l’échelle du globe. Il suit de là que la conduite responsable d’un équilibre de la viabilité réclamerait d’urgence la préparation d’un concert de gouvernance mondiale plus empreint d’acteurs que sont entre autres la société civile mondiale, de part également une invitation aussi motivée que motivante des acteurs privés les plus influents de la planète en ce que ceux-ci disposent de moyens à même de rivaliser, si ce n’est de dépasser, la richesse économique de nombreux Etats et sont pour certains partie prenantes à l’avant garde de hautes technologies (citer lien exemple en informatique, et quelques autres domaines). La raison collective existe et doit pouvoir peser, elle n’en a pas attendu l’avènement des théories dites de psychologie sociale lorsqu’elles se voyaient bien employées*. A des degrés variables j’illustrerai cet appel en indiquant l’existence récente d’un Traité sur l’Interdiction des Armes Nucléaires (TIAN) qui reprend en son domaine, dans les grandes lignes, la défense rationnelle d’un désarmement selon divers crans de modalités tant l’ambition de cette sagesse est aussi colossale que complexe. (Développer et poser lien). La fédération en maints domaines repose sur l’intérêt commun, et ici, qui ne s’en doute, au milieu d’une foison d’enjeux et de comportements divisés. Tout cela n’est pas sans me remémorer un vieux mémoire de maîtrise de sciences politiques tenu en 2002 intitulé « les dilemmes des politiques de lutte contre la prolifération de l’arme nucléaire ». Autre illustration, j’envisageais à titre non exclusif l’élaboration d’une super- Cope spéciale et exceptionnelle il y a quelques jours dans ce journal aux fins de rendre opportune l’intégration de quelques renforcements de la grande consultation publique polylatérale évoquée sous diverses taxinomies et il s’avère qu’une telle audace n’avait rien de saugrenue si l’on pense à l’annonce par les médias avant-hier de la préparation par le Premier Ministre Mr G Attal d’une Cope spéciale en France rapportée à la thématique du Travail.



***

Fabrice, un personnage en façonnement de ces écritures, hautement inspiré d’histoires avérées :


« Something is wrong, in order to find an interessant job for all my life it seems that I need to stress on less langages than ever, for several weeks at least. But in my view, if a obtain the first goal to translate all my avtivities and what I plan in this langage things can becoming a leatle bowring for others but only at the beginning. To suceed here will allow me, as I hope, to teach, maybe for childrens, to translate, to become a linguistic-lawer, to advise in social and human sciences at my level, and emphasize one or two works in the same time, to write my IR questions for instance, or perhaps my poetry. For all I know althought, I couldn’t leave a day without one sentence written in any langage. I’m sure that, my quality or my level ist fewer good than last year, before my pill taken, but when we practice hard things could turn on many breakthroughts in the short time. That’s all for tonight. »


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Dimanche 26 mai 2024


tester des changements de pronoms de conjuguaison


« Ce sont bien là des croquemorts

Tout est bon pour me vilipendre

Criblé, je n’ai plus de scafendre

Que de bâtons tenus à tord


Ce sont bien là des renégats

Tout est si bon, pour tripoter,

Ciblé, je fuis de (pour) gigoter

Que de tâtons sans résultats


Ce sont bien là les mêmes félons

Tout est si long de se contrire

Couplés, je luis de le leur dire

Que de façon trahissent leur front


Car ce sont là de si affreux

Toutes ces façons comme ils s’ameutent

Couvez donc mains basses de l’émeute

Que de liaisons ! C’est dire des cieux… »



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